Matthew Sykes [Terminé]

« Introduce yourself. »

* NOM : Sykes
* PRÉNOMS : Matthew
* ÂGE : 21 ans
* LIEU DE NAISSANCE : New York
* PROFESSION : Aucune


« Me, myself, and I. »

* HISTOIRE : (6 lignes min.)

Matthew est né à New York un 19 mai 1986, famille riche, enfant pourris gaté ne peut donner qu'un mauvais garçon. D'ailleurs Matthew ne faitr pas exeption à la règle bien qu'il ne soit pas pour autant à mettre aux ordures. Il a grandit dans la plus grande bourgeoisie, il a eut tout, tout le temps, n'imporete ou. Il a eut une belle vie, il n'est vraiment pas à plaindre et contrairement aux clichés des familles riches ses parents étaient très présents. En grandissant il a eut de nombreuses conquètes, rapport à son physique plus qu'acceptable et un peu sa richesse aussi non? Briseur de coeur invétéré, Matthew est tout de même tombé amoureux de la jeune et douce Queen B., avec qui il est resté pendant deux ans. Deux ans jusqu'à ce qu'il l'a trompe, et pas avec n'importe qui. Alors que Brookelle était parti en stage pour une semaine, Matthew ne s'était pas gêné pour coucher avec Alicia Vanek, l'ex meilleure amie de la brunette. Evidemment, cette soit-disante meilleure amie était la première partante dans l'histoire. Comme toute personne plus ou moins normale, Brookelle rompit. Avec Matthew, comme avec Alicia. Surtout avec Alicia en fait. Avant la jeune femme, Matthew n'avait jamais sû ce que c'était vraiment d'être amoureux. Le coeur brisé à son tour, il reprit ses habitudes de salaud. Jusqu'à ce qu'il rencontre un beau jour une fille seule et triste au nom d'Alaina. Amoureux ? Surement. En tout cas il est bien avec elle.

* CARACTÈRE : (4 lignes min.)
Matthew est beau et riche et il le sait. Il en profite. Il plait aux filles. Il est attachant et drôle. En clair il a tout pour lui. Sauf qu'il n'apporte pas aux filles l'importance qu'elles méritent. Il est gentil et s'entend bien avec la plupart des gens. Il aime être aimé comme tout le monde, qui ne rêve pas d'être adulé par toute une génération de jeunes ? Mais maintenant, une fille l'a changé. Et le jeune homme compte bien la garder près de lui le plus longtemps possible. Il est très jaloux et légèrement possessif, il ne supporterait pas qu'elle aille voire ailleurs. Une pointe d'orgueil ? En même temps, il aurait de quoi être narcissique... Il aime la musique et s'amuser. Il aime faire des soirées avec alcool et filles à volonté. Enfin bref, Matthew est un prince de Manatthan digne de ce nom.


* PYSHIQUE : (3 lignes min.)
Matthew n'est pas très grand, il mesure 1m73 ce qui n'est pas très grand pour un garçon de 21 ans. Il n'est pas très baraqué mais a des muscles là où il faut. Il a deux piercings au labret et change souvent de coiffure, il aime porter les cheveux assez longs. Il s'habille de façon mi-trash mi-classe. Slim, jean déchirés... Il s'occupe assez de son physique et passe pas mal de temps devant la glace tous les jours. Il aime les fringues et a l'intention de créer sa propre ligne de vêtement. Il est beau, en tout cas c'est ce qu'on ne cesse de lui répéter.


* CINQ MOTS POUR VOUS DÉCRIRE : Drôle, extraverti, susceptible, jaloux, attachant.
* GOÛTS MUSICAUX : Rock.
* Q'AVEZ-VOUS TOUJOURS SUR VOUS ?: Que la vie n'est pas si horrible qu'on le dit.

* DIVERS :
* AVATAR : Oliver Sykes


« Do you want a piece of me ? »

* PRÉNOM/SURNOM : Tom
* ÂGE : 17 ans
* LOCALISATION : France

* PRÉSENCE SUR LE FORUM (#/7) : 6/7
* VOTRE NIVEAU RP (Sur 10) : 8/10
* COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM : En naviguant.
* DIVERS :

* CODE DU RÈGLEMENT :

Became as mad as rabbits with bushels of bad habits

* CODE DU CONTEXTE :

Love is the Movement.

* EXEMPLE D'RP :


Spoiler:

Une fin de soirée un peu
chiante. Une fin de soirée que la journée annonçait déjà ennuyeuse. Une
fin de soirée, semblable à une autre, ordinaire, longue. Et, je ne sais
pas pourquoi Edward serait allé dans cette espèce de club de nuit, mais
il y était entrée. Rongé par un remord ou par une quelconque nostalgie
? Il y avait tant de raisons valables que les énumérer dans un post de
rp ne servirait à rien. Ca devait être ça : l'inutilité qu'il
ressentait le menait toujours à des endroits où il n'osait guère
souvent s'aventurer. Au fond, il se demandait même comment les gens
parvenaient à se distraire en dansant sur une techno basique voir
pourrave. Non, il n'était pas de mauvaise humeur. Juste que la
mélancolie changeait sa vision des choses en plus péjorative qu'il ne
le demeurait déjà. Un mal à vivre, tout simplement. Il soupira. Il
soupirait très souvent ces temps - ci. Sa langue passa sur sa lèvre
inférieure pour savourer la dernière goutte de champagne qui séchait
sur sa bouche. Il ne fêtait rien, elle en avait eu envie, soif
d'élégance ? Envie de faire jouer ses doigts sur le verre d'une flûte.
Soif de romance ? Misérable garçon. A croire qu'aujourd'hui encore,
Edward se laissait gagner. Presque ridicule.Ce dernier ne venait jamais
vers les autres lui non plus. Il estimait que si quelqu'un avait à lui
parler, il viendrait et exposerait ses propos. Après quoi, si il les
jugeait intéressants et pas trop idiots, il s'engageait à y répondre de
façon très respectable. Encore fallait - il qu'on l'aborde, et ce
n'était pas toujours chose aisée. A trop vouloir être dans la lune, on
finit par décoller pour s'y exiler. Ca devient une obsession, cette
putain d'envie de s'enfuir vers un ailleurs. Ca tourne comme les
tambours d'une fanfare dans ta tronche, ca te rappelle ta piètre
existence et t'entraîne vers la drogue et ces conneries qu'on garde
pour les plus vulnérables. Qu'on regarde de haut en ayant profondément
pitié. Ou pas.

Et puis cette violence qui s'épanouissait jusque
dans le coin sombre de la salle. Des cris, des rires, des bruits de
verres brisés, des coups des souffrances. Dans la pénombre. Juste pour
faire preuve d'une discrétion polie. Mais dans un bataille, même
lorsqu'on est saouls, la discrétion est loin d'être possible. Edward
jeta un bref coup d'œil sur l'attroupement qui se formait, un sourire
au coin des lèvres. Si on devait en venir jusque là pour mouvementer un
peu nos vies, où allait le monde? Il soupira une fois de plus, posa une
main sur son front, et enfin, se massa les tempes. Tout cela lui avait
ancré un mal de crâne conséquent...

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